Une lettre anonyme amène le sergent Neil Howie (Edward Woodward) à venir enquêter dans une petite île écossaise sur la mystérieuse disparition d'une jeune fille. Le policier se heurte au silence inquiétant des habitants qui vont jusqu'à nier l'existence de la disparue. Peu à peu, le sergent Howie, découvre que la petite communauté, dirigée par l'excentrique Lord Summerisle (Christopher Lee), regroupe les membres d'une secte païenne qui semble s'adonner à des cérémonies d'un autre âge.

‘’Film d'horreur à caractère social, The Wicker Man fonctionne encore aujourd'hui parce que l'impact de son discours ne repose sur aucun effet visuel; seul compte l'implacable lucidité de son exposé, la férocité de sa critique des religions organisées, la terrifiante réalité de cette atrocité rendue acceptable par la mécanique du consensus. Ancré dans l'esprit d'une époque, le film n'en demeure pas moins intemporel - parce que le dérèglement de masse qu'il dépeint sous un jour si insidieusement sympathique peut resurgir à tout moment, d'une manière ou d'une autre. The Wicker Man terrifie parce que, pour un moment, nous avons participé à l'horreur.’’

- Panorama Cinéma

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Sergeant Howie (Edward Woodward) arrives on the small Scottish island of Summerisle to investigate the report of a missing child. A conservative Christian, the policeman observes the residents' frivolous sexual displays and strange pagan rituals, particularly the temptations of Willow (Britt Ekland), daughter of the island magistrate, Lord Summerisle (Christopher Lee). The more Sergeant Howie learns about the islanders' strange practices, the closer he gets to tracking down the missing child. 

‘’The film works on several levels; it’s at once a witty, eccentric horror, as well as a deeply serious exploration of the tangled narratives of the country’s history. (...) The Wicker Man is an undeniably remarkable work. Even after all these years, it still moves with an endearing creakiness and is full of unexpected grace notes, as well as some genuinely unsettling moments.‘’

- Cine-vue